Dans les côtés sympas, trouver du beurre salé au supermarché Ley, celui de la Séptima (la 7ème rue), à côté de la Plaza Bolívar. Il n'a pas le goût du Paysan Breton, mais sur du pain de mie 'pan Bimbo' (LA référence dans le monde hispanique!) il est très bien.
Puisqu'on va prendre bientôt l'apéro (test de bières colombiennes, je vous en dirai plus plus tard...), j'ai acheté des chips de pomme de terre et de banane plantain, sur un stand à roulettes dans la rue, bien grasses (visez le papier), tellement en fait que je suis déjà à moitié malade rien qu'à les regarder. Mais on ne vit qu'une fois (si on n'écoute pas les recommandations du ministère des Affaires Etrangères, bien sûr, sinon on ne vit pas du tout).
En dehors des apéros, on boit du jus de fruit (beaucoup, et surtout du maracuja!! Mais aussi de la mûre, de la fraise, et du guanabana) et parfois de l'eau. Je dirais bien de l'eau en bouteille, mais comment dire... Ca ne veut rien dire, justement. (Et là, je regrette d'avoir évacué mon bidon de 5 litres que j'aurais pu recharger. D'autant que si la recharge est à $1.700, soit environ 70 centimes d'euros, le bidon est à $4.500, le prix d'un déjeuner dans un boui-boui pour étudiants!)
Dans les choses moins sympas, sortir très étonnée mais assez contente d'une boutique de photocopies où les 3 ont coûté $150 (6 centimes d'euro) et constater en passant devant les deux boutiques suivantes qu'on les a payées 40% plus cher... Mais c'est comme le briquet (le même, même couleur, trouvé à $1.000 sur la grand'rue, puis 700 dans une petite boutique): on ne peut pas savoir tant qu'on s'est pas fait avoir...
Demain (ou ce soir, ça dépend du nombre de bières testées), je vous parlerai sécurité du domicile.