Petit retour sur le départ, décollage de Nantes à 8h05. Petit coup de speed : on avait mis le réveil sur les DEUX iphones (ceinture ET bretelles) mais tous les deux affectés du bug du changement d’heure, sans doute, auquel nous n’avions prêté qu’une attention toute relative à l’époque.
Donc 35’ de retard sur l’horaire, limitées à 20 à l’arrivée au comptoir d’enregistrement, rien d’irréparable heureusement.
Mais pas le temps de passer à la pharmacie pour la nautamine oubliée.
Arrivée à Madrid globalement sans encombre, mais point trop en forme non plus, pas de wifi accessible, grosse déprime… Communication limitée à quelques sms… vivement ce soir ! !
L’aéroport de Madrid est immense. Débarquée au Terminal 4, je repars du T4-satellite, à quelques minutes de métro-fantôme du premier. On y trouve un Starbucks qui n’offre pas de connexion wifi, un Relay qui vend des accessoires pour le voyage (oreillers, bouchons d’oreille, préservatifs de nombreuses sortes, vaseline, slips en papier… non je ne cherche pas à comprendre…) mais hélas pas de ces accessoires que je recherche : des comprimés contre le mal du transport. La pharmacie est au T4… plus le temps de retourner, tant pis pour les autres, je serai malade mais pas speedée deux fois dans la journée !
Nous embarquons (un collègue de formation et moi) dans l’avion d’Iberia joliment nommé Pío Baroja. Celui d’à côté est Salvador Dalí. Si ces avions ont hérité du tempérament de leurs illustres parrains, je préfère assurément Pío Baroja, nettement moins fantasque…
DONC: l'information importante de ce post, amis qui êtes sujets au mal du transport, c'est: passez à la pharmacie du terminal 4 parce qu'après c'est mort.