Tout d'abord, l'incontournable Plaza de Bolivar, vue assez classiquement vers l'est et les montagnes que je n'ai d'ailleurs pas représentées. On voit ici la cathédrale et le palais épiscopal à droite.
Tant qu'on est dans la Candelaria: les murs, les fenêtres, les portes sont extrêmement colorées. Ca produit un effet perroquet tout à fait notable.
A la limite de la 'zone fréquentable' de la Candelaria (vers le sud et le quartier de Las Cruces, pourtant l'autre moitié de la ville historique, mais dégradé, et stigmatisé du fait des populations qui l'habitent), deux jeunes policiers veillent. Il ne se passe tellement rien qu'ils cherchent à passer le temps.
Un peu plus à l'ouest, sur la place San Victorino, les photographes de rue sont accompagnés de lamas (ou de chevaux en plastiques, à défaut). Le jour où je suis allée dessiner, il y en avait quatre, dont une femelle et son petit. Ce sont eux que j'ai représentés.
En allant vers le nord, jusqu'à Usaquén, on trouve l'Hacienda Santa Barbara. Anciennement une belle et grande propriété, transformée en mall. La placette centrale et sa fontaine ont subsisté.
Bien plus au nord, saut de puce à Villa de Leyva, gros bourg qui a conservé son charme colonial et son pavage original à base de cailloux posés à la va-comme-je-te-pousse. Pays de fossiles et de dinosaures.
(Et désolée pour la présentation, DotClear ne fait que ce qu'il veut ce soir. J'arrangerai ça plus tard. Ou pas.)